Le 10 février dernier, je saluais brièvement la disparition de Burt Bacharach (1928-2023) : « des mélodies légères comme des bulles de champagne, avec toujours une larme de mélancolie, des progressions harmoniques subtiles en accords de septième diminuée et de neuvième, des changements de tonalité et de métrique renversants. Insensible à la fureur du rock’n’roll, Bacharach agit sous l’influence du jazz, de la bossa-nova et de ses percussions. Ses orchestrations comprennent généralement un piano conducteur, des cordes soyeuses ou emphatiques, des cuivres chaloupés, sans oublier sa signature, le gimmick de trompette, ou plus précisément de bugle. Parfois remplacé par un sifflement désinvolte, mains dans les poches… » Lire la suite de l’article de Bruno Lesprit dans Le Monde.
En ce jour de Saint-Valentin, juste pour le plaisir, quelques-unes de ses chansons qui parlent d’amour.
Et d’abord Marlene Dietrich et la célébrissime chanson de L’Ange Bleu, Falling in Love again, dans l’arrangement qu’en avait fait Burt Bacharach.


What the world needs now is Love

