Sacré caractère, sacrée voix, la chanteuse américaine Eileen Farrell (1920-2002) ne lâche plus celui qui l’a écoutée une fois.
C’est un disque, un cadeau, qui me l’a fait connaître non pas comme la grande cantatrice qui a fait les beaux soirs du Met, mais comme une chanteuse de jazz.
Depuis lors, je n’ai plus cessé de collectionner les disques d’Eileen Farrell.
Sony nous restitue – enfin – un inestimable capital, trop longtemps indisponible ou mal distribué, dans un coffret de 16 CD, dont chaque galette est une pépite. L’art unique de cette voix immense qui n’a cessé de se partager entre les grands rôles lyriques et le jazz ou la comédie musicale, jusque dans ses dernières années comme elle en témoigne ici :
(détails complets du coffret ici: Eileen Farrell)
CD 1-2 BERG Wozzeck / Mack Harrell (Wozzeck), New York Phil. dir. Dmitri Mitropoulos (live 1951)
CD 3 CHERUBINI Medea extr. (1958)
CD 4 Airs de Beethoven (Fidelio, Ah perfido), Weber (Freischütz), Gluck (Alceste)
CD 5 Airs d’opéras de Puccini
CD 6 I gotta right to sing the blues
CD 7 Lieder de Schubert, Schumann, Debussy, Poulenc
CD 8 Carols for Christmas / Handel Messie, extr. dir. Eugene Ormandy
CD 9 Airs d’opéras de Verdi
CD 10 Here I go again
CD 11 BEETHOVEN Missa solemnis, dir. Leonard Bernstein
CD 12 Duos d’opéras de Verdi, avec Richard Tucker, ténor
CD 13 The Fling called Love
CD 14 WAGNER Immolation de Brünnhilde, Wesendonck Lieder / VAUGHAN WILLIAMS Serenade to Music, dir. Leonard Bernstein
CD 15 Together with Love, Andre Previn dir. et piano
CD 16 Mélodies de Respighi, Castelnuovo-Tedesco, Debussy, Fauré
Un indispensable de toute discothèque !