Difficile de traduire complètement le beau mot allemand de Zauber, qui veut dire plus que magie, merveilleux, enchantement. Ainsi le dernier opéra de Mozart, sa célèbre Zauberflöte est devenue en français La flûte enchantée.
C’est nettement plus facile de comprendre le concept anglais d’ Underworld.
J’ai donc eu la chance de voir en moins d’une semaine deux opéras, la création française de Macbeth Underworld de Pascal Dusapin, et la première d’une nouvelle production de La Flûte enchantée, la charge aussi d’en faire la critique pour Bachtrack.
La magie, le merveilleux, voire le fantastique, ne se sont pas trouvés là où on les attendait.
J’ai vraiment beaucoup aimé l’avant-dernier opéra de Pascal Dusapin, pour moi une réussite complète. A lire sur Bachtrack : Macbeth Underworld, un opéra pour notre temps


L’enchantement était dans la fosse
Au Théâtre des Champs-Élysées, tout le monde attendait la première mise en scène d’opéra de Cédric Klapisch. Et ce fut dans la fosse, avec François-Xavier Roth et Les Siècles, qu’on entendit les sortilèges mozartiens comme je l’ai écrit pour Bachtrack : La flûte déconcertante de Cédric Klapisch au Théâtre des Champs-Élysées
