Les lieux que j’ai traversés ces derniers jours, Nîmes auprès de ma mère, Poitiers sur les traces de mon enfance, et de façon plus générale les villes, les paysages, les pays que je visite, sont toujours associés à des chansons, beaucoup plus qu’à de la musique classique. Le plus souvent sur le mode nostalgique. Mais les chansons tristes sont, dans mon cas, souvent bienfaisantes, régénérantes. J’ai besoin, à intervalles réguliers, de les entendre, de les retrouver, a fortiori lorsque les circonstances les font resurgir.
Je les jette ici, sans ordre ni préférence. Je les aime toutes, j’ai besoin de toutes.
Que sont mes amis devenus ? (Pauvre Rutebeuf)
Joan Baez
Nana Mouskouri
Autumn leaves
La javanaise
Marlene Dietrich : Where are all the flowers gone ?
Les enfants de Zorba
Mon père, qui était professeur d’anglais, fut l’un des premiers à faire découvrir Leonard Cohen à ses élèves…
Et Maurane que j’avais de si près connue…
Blowing’ in the wind (Bob Dylan)
J’aime le poète mais pas le chanteur Bob Dylan. Les femmes le chantent mieux que lui…
Un 45 tours, le seul que j’aie jamais eu, de Mireille Mathieu, et l’émotion intacte de cette Dernière valse
Ma mère aimait bien ce que les Allemands appellent des Schlager, des « tubes » à grands renforts de violons et de mélodies entraînantes.
Jipi l’amoroso
La chanson de Dalida est liée à un souvenir très personnel. Tout comme Annie Cordy, plusieurs fois rencontrée au concert.
Bientôt de nouvelles brèves de blog : 13 novembre




