Je ne suis pas revenu les mains vides de mon week-end liégeois, les amis ayant souhaité anticiper un anniversaire qui n’a lieu que dans trois jours. Et comme ils me connaissent bien, ils ne sont pas trompés. Cela peut même donner quelques idées à ceux qui sont encore en panne de cadeaux à faire pour ces fêtes…
J’avais déjà reçu des mêmes amis, et dédicacés par Pierre Lecrenier, les deux premiers tomes, inutile de dire que ce troisième est mieux venu encore. Pour ce que j’en ai déjà feuilleté, le trait est juste, les traits jamais excessifs, mais tellement inspirés de la réalité. Bravo !
Dans un genre plus direct, j’ai bien reconnu la patte d’un ami militant de toutes les causes qui nous tiennent à coeur dans le choix de ce qui est en train de devenir un bestseller
Pour conjurer l’avenir…
L. avait repéré l’affection que j’ai pour les livres d’André Tubeuf, style et mémoire inimitables. Et qu’il me manquait certainement celui-ci. Bien vu !
Autre album, intéressant et frustrant à la fois, parce que ce beau livre ne peut donner qu’un faible aperçu de plus de 50 ans de vie, de travail, de création au sein de la Maison de la radio (inaugurée en 1963). L’ami Gérard Courchelle a fait des choix qui n’auraient pas été les miens, mais c’est un travail remarquable, richement documenté, et sans aucun doute passionnant pour qui veut découvrir l’arrière du décor.
Et puis demain j’évoquerai dans le détail l’une des plus belles publications discographiques de l’année, somptueux contenant et contenu. À la mesure de celui qu’elle honore pour son centenaire.
Sviatoslav Richter ou l’exception faite homme. Et auprès de lui un immense chef d’orchestre, qui mériterait à son tour pareil hommage, Kirill Kondrachine.